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Wednesday, July 19, 2006

230 Divisadero - A Vision Of Lost Unity (media)



230 DIVISADERO - A VISION OF LOST UNITY EP
Label : Milk & moon recordings

Catalog #: MILKMOON03
Release date: August 2006
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. Another trans-Atlantic collaboration, this time between Canadian Nick Grey and Brit Matt Shaw, 230 Divisadero deliver a one-track, half-hour EP that ebbs and flows in the minimalist, ambient snorecore style of Windy & Carl, Stars of the Lid, Aarktica, et. al. The set begins with a bubbling cauldron of underwater sonar bleeps and blurps until the soapbox sermon-spouting looney from Godspeed You Black Emperor's “f#a#oo” wanders across the room breathing fire and brimstone and warning us all of impending death and doom, while ominous electronic buzzings and disembodied voices chant in the background. Nick and Matt add some distorted chanting of their own that occasionally sounds like your typical bongwater mouthwash gargle!
Cellist David Widmer adds a buzzing didgideroo vibe and I was reminded of some of Richard Chamberlain's hypnotic encounters with the aboriginees in Peter Weir's “The Last Wave.” There's a metalic industrial sheen to some of the middle passages that again invoke cinematic images, this time of the barren landscapes and factory scenes form David Lynch's “Eraserhead.” In fact, the album often recalls that wonderful soundtrack, particularly in its creation of unsettling scenes of loneliness and hopelessness. Recommended to fans of ambient snorecore, imaginary film soundtracks, Godspeed, Coil, Nurse With Wound and the World Serpent crowd. - Foxy Digitalis

. Ce n'est pas dans le sillage du succès du deuxième volet du "Pirates des Caraïbes" qu'on surprendra en parlant de la fécondité de l'imaginaire marin. Caravelles parties pour un horizon qui pourrait être la mort, sirènes et autres monstres des eaux, cartographie inquiète de ce qui se trame dans les bas-fonds (et qui peut toujours avoir quelque rapport avec les remous de l'inconscient), la traversée des mers est une épopée en soi. On peut savoir gré à Matt Shaw (Tex La Homa) et Nick Grey (48 Cameras), ainsi qu'à leur violoncelliste prodige (David Widmer) d'avoir ranimé la mythologie noire des marins sur "A Vision of Lost Unity". Ce EP, constitué d'une seule pièce musicale de près d'une demi-heure, tisse, entre drones, soundscapes, sonars lointains et omniprésents d'un côté, ponctuations acoustiques discrètes de l'autre (violoncelle lancinant et crève-cœur, voix d'outre-tombe), une trame fluide et pourtant riche de nuances qui happe l'auditeur, l'immergeant (littéralement et métaphoriquement) dans les eaux troubles de la déréliction ("Man is a lonesome shadow as are all creatures under his sign"). Ce premier essai, malgré son opacité, peut ravir un large public, des fans de gothique aux amateurs d'electro ambient. Moins cérébral, plus organique et réussi que la BO de Björk accompagnant, sur des thèmes proches, le film "Drawing Restraint 9", il devrait connaître une prolongation sous forme d'album dans les mois à venir. A suivre. - Popnews

. “A Vision of Lost Unity” is one long (28 minutes) piece of music from 230 Divisadero , which slowly engulfs you like a rising tide, as you lie, shipwrecked, on the rocks far from your home. Filled with swirling synths and slow motion drones, the music is desolate and lonely, compelled to look inwards for the answers. At 12 minutes the music seems to reach a crescendo of loss before slowly retreating back into itself, with some exquisite strings adding to the atmosphere, the music slipping back into the ocean of silence from whence it came. - Terrascope

. Mais quelle faute a bien pu commettre Nick Grey pour fuir la terre ferme ? Quelles sirènes aux voix séductrices ont bien pu l'entraîner au large avec maints compagnons d'infortune ? Ici accompagné de Matt Shaw (Tex La Homa), l'artiste résolument international s'embarque une fois de plus en des eaux inexplorées et mystérieuses, épaulé par une cartographie marine tout aussi porteuse de rêves étoilés et de remous rédempteurs. Un périple d'une demi-heure qui traverse autant les profondeurs brumeuses d'une ambient délétère (à la lisière de la dark et space-ambient) que les saveurs mélancoliques d'un post-rock à la Godspeed You Black Emperor ou celui plus traditionnel et progressif de Harvestman (projet de Steve Von Till/Neurosis). Un mélange qui ne perd à aucun moment de son attrait, pour ne pas dire de sa force hypnotique. A tel endroit on évite les récifs menaçant, à d'autres le roulis que subit la frêle embarcation de nos marins se fait presque palpable tant est si bien que le doute que les deux puissent arriver à bon port subsiste jusqu'au bout. Un scénario épique se construit progressivement, ponctué par les drames et le désespoir (omniprésence du violoncelle/narrateur) et la promesse de regagner une terre hospitalière. La courte coda qui s'impose après le silence abrupt offre un fin des plus ouvertes quand à la conclusion de l'aventure des deux protagonistes. La réponse se trouve très certainement dans ce trip superbe dont il faudra à l'évidence sonder les différentes escales avant de statuer sur ce "Dit du vieux marin" musical, moderne et enchanteur. - Guts Of Darkness

. 230 Divisadero is the duo of Matt Shaw and Nick Grey and their quite recent debut recording is a CD-R EP entitled A Vision of Lost Unity ( Milk and Moon ). It's an album consisting of one 28 minutes long underwater ceremony constructed from all sorts of misty drones, pulses, non-word vocals, hallucinogenic electronics, feedback attacks and mournful cello playing. This is good stuff that manages to surprise by combining subtle drone characteristics with repetitious aggression. - Broken Face

. En partant en voyage ensemble Matt Shaw (tex la homa) et Nick Grey (18 cameras) ne se sont pas chargés de valises ou d'appareil photo numérique. Des micros des instruments de musique et une culture du domaine de l'inné dans le cadre de Nick. A vision of the lost unity est un voyage à travers les océans au milieu des baleines et des sirènes qui ornaient les cartes des navigateurs au long court qui savaient ce que voulait dire départ. En un unique morceau de 28 minutes ce sont des contrées sous la brume que nous visitons, des lieux d'où s'échappent à la voix des chœurs attirant et le vrombissement du danger perpétuel. Entre post rock et electronica vaporeuse, ce EP redonne au sens d'aventurier une âme, loin des balises Argos et des gps, loin de la technologie et des avidités de records, plus prêt de la vie et de la mort. - A Découvrir Absolument

. Eerie psychedelic songs that weave electronic ambience in with noise and abstract modernism. Droning thunderous repetitions lull you but then your smacked with harsh distorted tones. A long track of almost half-an-hour, “A Vision of Lost Unity” reminds me of Sunn 0))), Earth, Pink Floyd, Clock DVA, and the Tear Garden. Pulsating waves of sonic acid weave through the tapestry that was expertly mixed with precision. Interesting and yet wildly disturbing all at once. - Smother magazine (Editor's pick)

. (...) Même degré d'intemporalité sur le très planant et opaque EP de 230 Divisadero, projet commun de Nick Grey (48 Cameras) et Matt Shaw (Tex La Homa), et dont le nouvel essai se constitue d'un seul titre de vingt-huit minutes. Réalisé par transmission de données entre Canada et Angleterre, A Vision of Lost Unity présente un amalgame sourd, ambiant et nébuleux, que fracturent en douceur sons de cordes désenchantés et psychédélisme rampant. Le drone est dans la place, et ses premières expansions précèdent un album complet, sur lequel on attend d'apprécier la fusion de l'organique et de l'électronique. - D-side magazine